Analyse sur "The Ghost Writer" de Roman Polanski
La deuxième guerre mondiale en marqua plus d’un. Le réalisateur polonais Roman Polanski passa durement à travers cette tragédie en y laissant sa mère assassinée à Auschwitz. Étant juif, il survit à l’Holocauste en prétendant être catholique. Roman Polanski, une fois la guerre terminé, étudia en cinéma. Ainsi, ses films sont marqués d’empreintes indélébiles de ses souvenirs de la deuxième guerre mondiale. Polanski est très concerné par la propagande politique. La plupart de ces films traitent de politique, de propagande, de corruption, de polémique politique… Par exemple, le protagoniste de The Pianist est un polonais juif qui survit à la deuxième guerre mondiale. Après, dans The Ghost Writer, Roman Polanski met la vie politique au cœur de son œuvre. Un nègre est engagé pour finir les mémoires du premier ministre britannique Adam Lang. L’écrivain prédécesseur étant mort dans une situation douteuse, le film tourne en enquête politique. Roman Polanski voulant montrer que la politique contemporaine est indissociable du mensonge. Chacun des politiciens mentent dans leur intérêt personnel et pour leur satisfaction individuelle, le parti au pouvoir ainsi que l’opposition. Un mensonge encore plus grand est dissimulé sous le personnage de Ruth qui tire les ficelles du pouvoir. Le spectateur est constamment dans un état de surprise ou d’attente à cette surprise.
Tous les politiciens mentent dans leurs intérêts personnels égocentriques. Le personnage de Pierce Brosnan, le premier ministre Adam Lang, est a première vu un gentleman sympathique. Il accueille le nègre, lui fait la conversation, est souriant. En réalité, il est un menteur narcissique. Lang refuse d’admettre et ni ses crimes de guerre. L’opposition, Rycart, accuse Lang d’avoir ordonner la torture de prisonnier de guerre lors de la guerre d’Iraq. Le premier ministre nit être lier à quoi que ce soit. En plus, il demande au nègre de lui écrire un discours pour sympathiser