Analyse a celle qui est trop gaie

1022 mots 5 pages
LL 3 – A celle qui est trop gaieIntroduction : Charles Baudelaire, né le 9 Avril 1821 et mort le 31 Août 1867, est un poète français du XIXème siècle. Poète qui sera incompris par la société lors de la publication de nombreux ouvrages poétiques, celui-ci sera intégré à la liste créée Paul Verlaine : les Poètes Maudits. Parmi ses œuvres les plus connues, on retrouve Les Fleurs du Mal, paru en 1857 qui fera scandale à l’époque pour les nombreux poèmes traitant de sujets tabous à l’époque comme la …afficher plus de contenu…

V1 : octosyllabe coupé en « parties : rythme rapide. Description de différents éléments du corps, le poète s’adresse à la femme aimée comme le confirme le titre « A celle qui est trop gaie », l’enjambement permet une description plus précise de la femme.V2 : répétition de « beau », insistance, la femme associée au paysage est un topos de la poésie romantique.V3 : « le rire joue » : métaphore, ouïe et vueV4 : « Comme un vent frais », toucher et vue : synesthésie : cette femme sollicite les sens du poète et du lecteur.V5 : « Le passant chagrin » : peut-être référence à lui et s’oppose à la femme « trop gaie »V6 : suite de la description, appel au sens de la vue hyperbole « est ébloui »V7 : « jaillit » métaphore « comme une clarté » comparaison : la femme est associée à la lumièreV8 : Suite de la description.V9 …afficher plus de contenu…

Rupture dans le poème avec cette contradiction, ce sentiment ambivalent.Si les quatre premières strophes du poème installent le lecteur dans l’impression confortable d’un certain respect de la tradition poétique amoureuse, le dernier vers de cette partie surprend, choque même : « Je te hais autant que je t’aime ». La force de l’antithèse, soulignée par la forme exclamative de la phrase, brise net les horizons d’attente jusque-là ménagés et propose brutalement une conception perverse du désir.Deuxième mouvement : V17 : évocation d’un paysage idyllique : « un beau jardin »V18 : enjambement montre l’opposition entre le cadre et l’état d’âme du poète. Le verbe « traîner » est péjoratif.V19 : assonances en [i] qui évoque la souffrance morale du poète. Verbe de perception « j’ai senti « qui renvoie à

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