Analyse d'adieu d'alfred de musset
La fin d’une relation, ce n’est jamais aisé. Autant pour celui qui est laissé que la personne qui rompt. Monsieur de Musset comprend qu’elle lui manque, mais il devra faire son deuil, ce qui s’avère inévitable.
Il réalise qu’il l’aimait et qu’il devra s’en sortir seul puisqu’elle est partie et il ne peut plus rien n’y changé.
Adieu! Je crois qu’en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Dieu passe, il t’appelle et m’oublie;
En te perdant je sens que je t’aimais.
Alfred réalise vraiment ses sentiments et l’amour qu’il éprouve pour cette femme au moment où elle part. Il comprend alors l’espace qu’elle occupait dans sa vie et quelle importance elle avait pour lui. Avec la lecture des 2 premier vers, on aperçoit qu’il n’a pas beaucoup d’espoir en ce qui attrait à la revoir un jour. Par la suite, il faut aussi regarder la distinction entre le fait que Dieu appel sa bien aimé et qu’il l’oubli. Il est donc seul pour affronter ses tourments. Mais un deuil ne se vit-il pas seul?
La perte d’un confident ou d‘une confidente n’est jamais facile puisqu’on s’est attaché à cette personne et qu’en général lorsque quelque chose de négatif survient ou sa ne va pas, c’est vers cette personne que l’on se tourne
Un jour tu sentiras peut-être
Le prix d’un cœur qui nous comprend,
Le bien qu’on trouve à le connaître;
Et ce qu’on souffre en le perdant.
Alfred de Musset saisit ce qui lui manque, les bienfaits de parler à quelqu’un qui nous comprend, le bien que cela apporte, ainsi que la douleur lorsque cette personne