Analyse d'oeuvre: L'homme au chien noir de Gustave Courbet
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L’œuvre analysée aujourd’hui est une des œuvres de Gustave Courbet portant le nom de L’homme au chien noir, peinte en 1842. Cette œuvre a était créée vers le milieu du 19eme siècle, et est donc a cheval entre deux grandes périodes, Le Romantisme et l’Art Académique. Cette œuvre est actuellement exposée au Musée du Petit Palais à Paris. Elle est la première, dans la série des autoportraits de jeunesse de Courbet, a être accepté au Salon Académique en 1844, ou il eu pour la première fois la satisfaction de voir l’une de ses œuvre accepté au Salon.
Comment Courbet intègre t’il le spectateur dans son autoportrait ?
Dans une première grande partie Nous évoquerons l’autoportrait tout en évoquant la question de rupture et de filiation, que Gustave Courbet nous montre dans chacune de ses œuvres. Nous expliquerons le rôle du portrait et de l’autoportrait dans la première sous-partie, puis dans la seconde sous-partie, en quoi cet autoportrait rompt avec la tradition du genre. Enfin dans une seconde grande partie, nous parlerons de la représentation de Courbet qui se trouve au sein de cette œuvre ainsi que se que cela provoque chez le spectateur.
Le genre du portrait existe depuis l’antiquité, bien qu’à son origine il servait à représenter surtout des personnes importantes afin de ne pas oublier les personnes défuntes et de célébrer les hauts personnages ou les dieux, comme en Egypte sur les sarcophages ou l’on peignait le portrait de pharaon. Les premières présences d’autoportrait apparurent lors du moyen âge, dans certains dessins de lettres ou l’on pouvait distinguer des autoportraits de moines scribes, cependant, cela n’est pas encore clairement reconnu et se n’est qu’a la renaissance, ou l’autoportrait