Par Flavie
Garceau-bolduc
Par Flavie
Garceau-bolduc

Dans la ville
Présenté à Monsieur Nikolas Poulin
Mercredi le 16 novembre 2011

1837 mots

De nos jours, le monde fait face à des défis qu’ils soient sociaux, politiques ou environnementaux. Nous essayons de garder nos villes propres et sans danger, mais un fléau fait rage dans notre société. Les graffitis sont une preuve de notre incapacité à gérer des conflits de tout ordre. Sommes-nous réellement une société qui appuie un geste illégal dans toute son intégralité?
Le graffiti que j’ai choisi est une plainte contre la société moderne. Le graffiteur a écrit « Étudiants en colère. L’Éducation est un droit pas un investissement. » J’ai trouvé ce graffiti près de la rue Quartier dans le Vieux-Québec. J’ai descendu dans les ruelles où le quartier est de plus en plus défavorisé. Ce n’est pas nécessairement un quartier extrêmement défavorisé mais les graffitis si trouvent par dizaines. Puisque c’est un milieu plutôt pauvre, il justifie la présence d’un message sur les frais de scolarités élevés car les jeunes de ce quartier n’ont pas nécessairement l’argent pour faire des études avancées dut, selon eux, à l’augmentation des coûts pour l’éducation trop élevé que le gouvernement Charest. De plus, comme le Vieux-Québec est un endroit souvent visité donc le graffiti est assez visible. De plus, il est sur le mur d’un stationnement ce qui engendre les touristes et les gens qui s’y stationnent à voir le graffiti. Par contre, il se trouve dans une ruelle donc un quartier peu visité par la police. Le graffiteur a choisi cet endroit pour plusieurs raisons. Le graffiteur devait se sentir à l’abri des regards dans cette petite ruelle. Le graffiti est à proximité de quelques lieux touristiques sans être dans un. Puisque c’est le mur d’un stationnement, les automobilistes qui s’y stationnent voit le graffiti et assimilent le message que celui évoquent. Toutes ces raisons expliquent la présence du graffiti à cet