Analyse du roman Le Survenant
865 mots
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En premier lieu, tout au long de ce roman, il est question de liberté. Cette liberté, est démontré par le survenant, qui est un homme libre, ce qui le différencie des habitants du chenal du moine. Il est un homme libre du a ses voyagements. En effet, le survenant se plait a voyager, a voir du pays, la liberté du survenant est signe de spontanéité car il donne libre cours a ses sentiments de partir voir le monde, il est heureux de voyager et ceci est quelque chose de naturel chez lui : « Vous autres, vous ne savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur en allège, tout son savoir sur le dos » ( p.190). Le survenant ne suit pas les traditions, il n’a pas peur d’être seul pour faire ce qu’il aime voyager et acquérir de nouvelles connaissances : « mais quand je serai arrivé sur la fin de mon règne vous me trouverez pas au fond des fossets, dans la vase. Cherchez plutôt à travers de la route, au grand soleil : je serai la, les yeux vers le ciel fier comme un roi de repartir voir un dernier pays » (p.192). Comme on peut voir, il est maître de sa vie et de son destin. Comme la tradition le veut, les habitants de chenal du moine doivent suivre les conseilles du curé, doivent être présent lors de la messe mais le survenant lui, obéit à personne, il fait comme bon lui semble : « Marie-Amanda se faisait une joie d’assister à la messe de minuit. À la demande du père Didace, le survenant accepta de garder la maison, il ne fit pas même prier. » (p.192). il ne fait pas comme le reste de la communauté, il ne va pas à la masse et ceci fait plutôt sa joie! Malgré la vie de nomade du survenant, la société du chenal du moine aura une certaine influence sur lui. La société du Chenal du moine qui est traditionnellement sédentaire, va d’une certaine façon, influencer le survenant. Il s’est attacher à cette endroit, il aime la terre de celle-ci et certains de ses habitants. Il présente une appartenant