Analyse linéaire la princesse de clèves
Elle ne cesse pas d’employer l’impératif l.14-15 et 16 « ayez » + verbes « retirer, obliger et craigne » Mme de C donne l’ordre à sa fille de s’enfuir. + la nécessité de la fuite souligne la faiblesse de la raison. L.16 il y a un parallélisme « ne craignez point de prendre des parties trop rudes et trop difficiles » + rép de l’adj met en valeur la dimension sacrificielle du renoncement à son amour. + champs lex du sacrifice l.16 « rude, difficile, affreux et malheur ». Le discours de la mère se veut culpabilisant, elle est focalisé entre le mari et la galanterie + antithèse entre « mari et galanterie …afficher plus de contenu…
L.28 deux négations nég « sans vouloir l’écouter » qui correspondent à la fin du discours qui s’accompagne d’un mvt qui rompt le contact physique et même visuel. L.28-29 litote « en l’état que l’on peut s’imaginer » qui insiste sur la représentation mentale qu’à le lecteur, cette litote nous conduits à être touchés et à ressentir une tristesse extrême. Évocation de la mort l.30 comme seule issue qui renvoie au pathétique. La prop principale l.30 « elle ne voulut plus revoir sa fille » met en valeur la force de volonté de Mme de C. par l’emploie du verbe « vouloir ». + la prop relative « qui était le seule chose à quoi elle se sentait rattachée » donne la pleine mesure de son sacrifice. L’emploi des adjs « seul » et « attachée » montrent que le princesse de Clèves est l’unique objet d’affection de Mme de