Situation de passage: Au début du chapitre, le narrateur nous explique que Joséphine était venue le voir. Il repense à Clémence au moment où il doit ouvrir la porte à Joséphine. Il se prend pour un salaud car il n’arrive même pas a se souvenir du visage de celle qu’il a toujours aimé. Joséphine lui explique qu’elle n’a jamais vu ni de saints ni de salaud et que rien n’est tout noir, ni tout blancs, mais c’est le gris qui gagne. ( Cette phrase est importante pour la suite du passage car elle justifie le titre du roman). Le narrateur nous explique tout ce qui se passe dans sa tête parce qu’il repense à Clémence quand elle tricotait dans la chambre pendant qu’il discutait avec Joséphine. Et puis, préoccupé par l’affaire, il pense, tout d’un coup, au corps trempé de Belle de jour avec ses yeux clos et ses lèvres bleuies par le froid.

Intérêt du passage: Ce passage est important car les habitants se rendent compte de la réalité de la guerre. Il remarque l’atrocité et les dégâts immenses qu’elle engendrent. Au final, ils sont bien contents de ne pas y être. Il est importants de souligner le fait que c’est la seule fois où l’on parle des âmes grises. Il compare tout ce qui est noir et blanc donc tout ce qui est bien et mal. Et il constate finalement que nous sommes tous des âmes grises. Analyse: Focalisation: C’est de la focalisation zéro car le narrateur est omniscient puisqu’il sait ce que les autres pensent. Par ex: p.136 dernier paragraphes «Eux nous en voulaient...» Partie 1: boire pour se réchauffer le coeur Joséphine rentre chez elle avec sa charrette en buvant sa fiole pour se réchauffer car le froid domine et qu’elle a encore un bon bout de chemin a parcourir tandis que les rescapés de la guerre se vide des verres pour se remplir le coeur et oublier les