Université du Québec a Montréal

Introduction

Dans le cadre du cours COM1125, laboratoire d’entrainement à l’animation, en vue de l’obtention du certificat en intervention psychosociale, j’ai été amené à rédiger un travail sur l’analyse et l’observation d’un atelier d’animation de mon choix. J’ai choisi d’observer une animatrice qui abordais un sujet, qui depuis plusieurs années est abordé, de façon parfois virulente, parfois très discrète dans les médias locaux et internationaux, mais qui n’en reste pas moins un sujet de société important; le taxage. De par ses répercutions néfastes sur les différents participants, qu’ils soient victime, agresseurs ou témoins. Cette problématique reste un problème social lourd, affectant autant l’individu qui la subit, que la société qui en ressent aussi les répercussions bien que ce soit de façon indirecte

Le titre de l’atelier : TAXAGE PASSEPORT DU CRIME

L’objectif de cette rencontre est de définir avec les jeunes ce que représente le phénomène du taxage, les sensibilisés à cette problématique, énumérer les conséquences d’un tel geste pour la victime et pour l’agresseur et permettre aux jeunes de reconnaitre l’importante de dénoncer comme étant un des moyens de faire cesser ce genre de délit.

L’atelier c’est déroulée le 8 février à la maison des jeunes de Blainville, de 7 heures à 8 heures. La majorité des participants étaient des garçons et la moyenne d’âge était de 12 ans à 16 ans. L’animatrice se nommait Martine Gagnon, elle travaille comme psychoéducatrice pour ce centre communautaire, une jeune femme dans la trentaine, d’allure sportive et souriante. L’atelier se déroulait dans un petit local, elle avait placée les chaises en rond, ce qui a l’avantage de favoriser la participation active, une télévision était installer au bout du cercle et dernière, il avait 3 tables avec des feuilles, crayons et breuvages.

Pour commencer, je tenterais dans un premier temps, de définir l’animation, j’identifierais