Anatomie d'une dicotylédone
Fleur de dicotylédone Feuille de dicotylédone
Caractéristiques d’une feuille de dicotylédone * Nervation réticulée * Stomates plus nombreux sur la face dorsale * Mésophylle hétérogène * Côtes saillantes
Caractéristiques d’une feuille de dicotylédone * Nervation réticulée * Stomates plus nombreux sur la face dorsale * Mésophylle hétérogène * Côtes saillantes
Les fleurs des dicotylédonées ont ordinairement des sépales (dont l’ensemble est appelé calice), des pétales (dont l’ensemble est appelé corolle), des étamines et des pistils distincts. La symétrie de la fleur est d’ordre de cinq et ses multiples ou de quatre et ses multiples.
Les fleurs des dicotylédonées ont ordinairement des sépales (dont l’ensemble est appelé calice), des pétales (dont l’ensemble est appelé corolle), des étamines et des pistils distincts. La symétrie de la fleur est d’ordre de cinq et ses multiples ou de quatre et ses multiples.
Tige de dicotylédone
Structure primaire de la tige de dicotylédones
Dans une tige de dicotylédone, les tissus conducteurs de sève sont disposés sur un seul cercle regroupant des structures élémentaires appelées faisceaux cribro-vasculaires.
La zone à l’extérieur du cercle défini par les faisceaux cribro-vasculaires est appelée écorce. Elle est constituée de parenchymes et est entourée de l’épiderme.
La zone à l’intérieur du cercle défini par les faisceaux est appelée moelle.
Les rayons médullaires, principalement constitués de parenchyme, se trouvent entre les faisceaux.
Le cambium, un tissu végétal marquant la limite entre le bois et l’écorce, intervient lors de la croissance secondaire. Il assure la croissance en diamètre de la plante.
Structure secondaire de la tige de dicotylédones
Les structures secondaires sont l’expression d’une croissance en largeur des tiges. Elles sont très discrètes chez les plantes herbacées et se trouvent surtout chez les dicotylédones et les