André Gide est un écrivain de contradiction et d'ambiguïté: la lumière et l'ombre. Les deux épigraphes j'ai choisi ici d'exprimer dans une partie du mot contrariété des Faux-monnayeurs. Les critiques ont lu contrariété de Gide à partir d'un certain nombre de positions différentes. Un peu plus de deux décennies il ya beaucoup voyaient un Gide suspendue entre deux «âges»: entre cet âge mal défini qui régnait avant - et l'existentialisme. Actuellement, en raison de ses auto-contradictions et le relativisme, combinées à son utilisation du langage religieux, certains y voient un Gide hâte de postmodernisme. D'autres lui lire théologiquement, comme incarnant une notion transitoire de Dieu dans un siècle où Dieu est constamment redéfini (un livre que j'ai lu est en droit d'André Gide: Le théisme d'un athée). Et enfin il ya ceux qui voient ses contradictions comme une faiblesse, comme symptomatique d'un simple manque d'engagement. Même si je suis certain qu'il ya encore beaucoup de travail d'intérêt de Gide, ce que j'ai pu trouver dans nos piles limitées n'a pas été tout ce que remarquable, et il n'a pas changé de manière significative (ni même abordé) le mien, la compréhension initiale de Les Faux-monnayeurs. Ce qui me surprend, car il semble que de nombreuses parties de la fonction roman de façon évidente, les moyens qui, néanmoins, ne sont jamais mentionnés.
C'est peut-être le cas que ma compréhension de Gide est trop évidente pour publication. Peut-être que je suis loin du compte présenter une analyse de Gide sous cet angle. En tout état de cause, j'étais sur le point de renoncer à mon essai Gide jusqu'à ce que je enhardi par cette entrée dans le journal: «Les droits incorporels ainsi que les IMPORTANTES a dire are that Celles souvent je N'Ai Pas cru Devoir dire - parce qu ' Elles me paraissaient trop evidentes. " (824) Ainsi, je vais commencer en insistant pour que les assertions suivantes sont trop évidents.