Anne hébert
Les années 1943 à 1945 sont marquées par la Deuxième guerre mondiale. La guerre fût détruire plusieurs bâtiments, mais en fût construire plusieurs autres. Autrement dit, c’est celle-ci qui amena la construction de plusieurs camps de concentration. Dans cette expérience concentrationnaire, le détenu est déshumanisé. Dans l’extrait de Si c’est un homme, Primo Levi, prisonnier de Moniwitz est déshumanisé. Le prisonnier devient déshumanisé en autre par sa perte de liberté. Il perd sa liberté par le contrôle absolu des S.S qui ont le pourvoir de vie ou de mort sur les prisonniers. Il perd aussi son humanité par la perte de son identité. Son identité est perdu puisque le détenu dès son entré dans le camp sera nommé par un numéro.
Conclusion
Dans l’extrait de Primo, témoin de la deuxième vague, il montre que les prisonniers sont déshumanisés. Il le montre par le biais la de la perte de liberté qui est continuellement contrôlé par les S.S. Ce contrôle est absolu, de vie ou de mort. Dans Si c’est un homme, la déshumanisation est aussi montrée par la perte d’indenté. Elle est traduite par la numérotation des prisonniers pour leur identification. De cette façon ceux-ci sont comme des numéros de série et non des humains. Quelques soit disant numéros ont survécu aux camps de concentration. Ils sont maintenant des témoins directs de cette expérience. Nous sommes maintenant en 2010, 65 ans ont passé depuis cette tragédie. Quelques témoins sont encore vivants de nos jours, mais sont sur le point de fermer l’œil à tout jamais. La société fermera t’elle elle aussi l’œil sur cette tragédie après leur mort ? Pour ne pas oublier leur expérience ceux-ci nous on écrit des récits de l’enfer qu’ils ont