Anthropologie - jivaro
Vie quotidienne social éloignée de la notre
P. DESCOLA, Les lances du crépuscule professeur d'anthropologie au Collège de France (institut d'excellence) problèmatique: mission en Amazonie chez les Jivaro pendant quelques années, (réduction de têtes) spécialisé sur la question nature/culture
-déscription mouvement fort – savoir faire – division du travail – classification locale (nature, temps,...) - relations sociales
Jivaro: nom réputé pour spécialité locale : découpage et réduction de tête
= crainte et fantasme des Occidentaux
Le couple Descola:
travail de bibliothèque investissement: demande budget (objet à donner à population locale: cigarette, bijoux, voyage accès difficile car forêt Amazonienne,...)
Cherchent les Jivaro : demandent à tous indiens qu'ils rencontrent mais aucuns ne connaissent les Jivaros, seul un qui les amènent dans la forêt les rencontrer. Arrivés dans le territoire des Jivaros, cet indien s'enfuit.
Le couple rencontre les SHUAR = HOMME (humain)
Ils ne se définissent pas par un nom ethnique. Pour eux ceux qui sont pas humains sont ceux qui ne parlent pas la même langue qu'eux.
Comment reconnaître un humain? - même langue : 2 langues chez eux : - langue parlée : on se comprend - langue des ANENTS; pour parler aux animaux (chasser), plantes (pousser)
Les SHUAR incluent dans leur groupe humains les animaux, les plantes, les minéraux => une catégorie. Le cadre de la pensée ne sont pas les mêmes que chez nous.
Ils se donnent des noms d'appartenance: HUAMBISA, ACHUAR,...==> toponyme: nom qui situe le groupe en fonction d'une caractéristique locale
Société plus ou moins sédentaire: lieu détermine le nom d'appartenance donc leur nom change
Tous ces groupes qui se disent SHUAR ne se définissent pas par un territoire, territoire élastique, s'étend jusqu'à ce qu'ils trouvent une forme d'opposition. Notion d'ethnie Journée typique chez les SHUAR , surtout les ACHUAR commence –