Antigone
Oh Hémon, te voilà ! Je te cherche depuis maintenant quelques heures. Où donc étais-tu ?
Hémon, surpris : Dans le château avec mes compagnons. Nous apprennions à manier quelques engins.
Antigone, faisant mine de s'intéresser : Et cmment était-ce ?
Hémon : Fort distrayant !
Antigone, plus sérieusement : Je dois t'avouer quelque chose Hémon...mon bel amour !
Hémon, inquiet par ce brusque élan d'amour : T'est-il arrivé malheur, ma douce ?
Antigone, retenant ses larmes face à cet homme aimant : Hémon ?
Hémon : Oui ?
Antigone : M'aimes-tu d'un amour sincère ?
Hémon, étonné par cette question : Comment peux-tu en douter ?
Antigone : Je ne doute pas, je demande confirmation ! Ce que je m'aprête à te dire risque de te toucher profondément. Tu n'apprécieras pas le récit de mon aventure, mais il faut que tu l'entendes avant que tous le sachent.
Hémon, impatient : Mais parle enfin !
Antigone, qui murmure : Je rentre tout juste de cette demeure...je viens du cadavre de mon frère, Polynice...ce que j'ai commis Hémon est grave...j'espère que ton amour est ssez fort pour que tu ne te sauves pas comme un chat face à l'eau...
Hémon soucieux : Mais qu'as-tu fais pour que de si grosses larmes amères te coules sur les joues ?
Antigone tristement : J'ai pêché contre notre roi et sa décision...j'ai commis l'irréparable ! J'ai enterré mon frère avec sa petite pelle d'enfant !
Hémon, n'y croyant pas un mot : Que me racontes--tu là voyons ?Pourquoi l'aurais-tu fais ?
Antigone l'observant à travers ses larmes : Je crains que tu ne puisses cromprendre mon désir de voir mon frère en paix.
Hémon : Tu ne plaiantes donc pas ! Tu aurais désobéit à mon père et mainteant, il te faut te sauver !
Antigone hurlant à présent : NON !!!!
Hémon : Pourquoi non ? Veux-tu finir comme ton grand-père, ta mère et ta grand-mère, ton père, et tes frères ? e veux-tu ? SCe serait un triste sors de voir une aussi belle femme que oi mourrir par une décision qui ne sserre qu'à faire