Ce présent travail porte sur l’ouvrage de Jean Anouilh se nommant Antigone. Je vais faire le point afin de savoir qui avait raison d’agir comme il là fait, soit Antigone ou bien Créon. Mon ouvrage va être présenté comme suit, soit par un plaidoyer en faveur de Créon, suivie ensuite par un plaidoyer en faveur d’Antigone pour finalement conclure avec la décision du juge qui inclue quelques opinions personnelles.

Plaidoyer en faveur de Créon

Créon faisait ici partit d’un problème de politique et ne pouvait remédier à son rôle qu’il avait accepté. Peut-être n’aurait-il pas dû accepter va-t-on dire. Mais le résultat aurait seulement été qu’une autre personne aurait fait le travail à sa place. On sait très bien que la loi du roi, c’est la loi. Personne en est au-dessus, ni même le roi. C’est-à-dire que la loi est suprême et ne fait pas de favoris. Sachant cela, Antigone décide tout de même d’enfreindre la loi de Créon. Antigone avait donc la connaissance des conséquences que son acte allait causer. Créon avait clairement dicté que la personne allant essayer d’enterrer le corps de Polynice allait trouver la mort. Donc, Antigone savait bel et bien ce qui l’attendait. Créon à comme devoir de faire régner l’ordre dans Thèbes. Il avait comme devoir de faire comprendre au peuple que de tels actes, faits par Polynice, ne seraient acceptés dans son royaume. Ceci étant dit, comment réussirait-il à faire régner cet ordre s’il ne faisait pas respecter ces lois qu’il à lui-même posé? C’est-à-dire que Créon, en ne faisant pas respecter sa loi, courrait à sa fin. C’est ici que s’impose ce problème de politique. Si Créon n’avait pas fait respecter sa propre loi, Thèbes se serait révolté. De plus, la population aurait compris de cet acte que l’obligation de respecter les lois n’est pas véritablement présente et ceci aurait conséquemment emporté Créon à sa perte. Cela aurait été en autres mots l’anarchie. Créon n’avait aucune autre méthode de remédier au