AntigoneEtHemon Word
1. Les didascalies montrent des sentiments amoureux mais aussi de l'appréhension et de la tristesse.
2. L'évocation de l’enfant donne à Antigone l'image d’une mère non conventionnelle mais qui ne serait pas moins protectrice et aimante « Il aurait eu une maman toute petite et mal peignée -mais plus sûre que toutes les vraies mères du monde [..] ».
3. Un sentiment d'amour découle de la relation entre les deux personnages : « Si tu m’aimes, jure le moi » (l.49-50) « Je le jure » (l.54).
4. Le tragique est renforcé par l'ignorance qu'Hémon a du choix d'Antigone : transgresser donc mourir. Antigone est rattrapée par sa volonté d'être femme alors qu'elle a décidé de mourir.
5. Antigone mène le dialogue, alors que d'après le personnage d’Anouilh, Antigone est une personne renfermé qui n'a pas l'habitude d'être au-devant de la scène. « Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille [..] » extrait du prologue page.9
6.Ce modalisateur introduit la notion d'incertitude.
b. Le conditionnel présent est utilisé par Antigone et le présent de l’indicatif par Hémon
c. L’emploi du conditionnel renforce le tragique car on voit qu'Antigone est en train de « raconter » une vie qu'elle n'aura sûrement pas car elle va mourir.
7. Le verbe « jurer » est répété par Antigone, dans un premier temps elle utilise l’impératif.
b. Antigone l'utilise au passé composé de l’indicatif, afin de placer Hémon face à sa promesse.
c. Antigone cherche à avoir une emprise sur Hémon, ce qui renforce la tonalité tragique du texte. Elle l’accule en lui faisant jurer de ne pas poser de questions.
8. Non, contrairement au spectateur Hémon ne sait pas qu'Antigone à enterrer son frère, Polynice et que par conséquent elle va mourir.
9. « Je vais te dire » « Je vais te faire de la peine » : périphrase verbale
« Je ne pourrai t’épouser » « tu sauras demain »