Apollinaire
il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'épris d'elle et lui fit la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement pour un homme qu'elle surnommait Toutou. Rapidement, Guillaume dut partir au front. Une correspondance naquit de leur relation.
2.Alcools, recueil de poèmes composés entre 1898 et 1913, Mercure de France, 1913.
Poèmes à Lou, Cailler, recueils de poèmes pour Louise de Coligny-Châtillon, 1915
Vitam impendere amori, illustré par André Rouveyre, Mercure de France, 1917.
Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916, Mercure de France, 1918
3.La tombe de Guillaume Apollinaire au cimetière du Père Lachaise, division 86, présente un monument-menhir conçu par Picasso et financé par la vente aux enchères de deux œuvres de Matisse et Picasso le 21 juin 1924[7]. La tombe porte également une double épitaphe extraite du recueil Calligrammes, trois strophes discontinues de « Colline »[8], qui évoquent son projet poétique et sa mort, et un calligramme de tessons verts et blancs en forme de cœur qui se lit « mon cœur pareil à une flamme renversée