Accusations contre Socrate: Les premières accusations, qui sont les plus anciennes, est une mise en garde sur « l’éloquence » de Socrate. Pourtant il affirme ne pas être éloquent, il dit juste toutes les vérités tel quels sont. Ces accusateurs font aussi passer Socrate comme hâté. De fait il s’occuperait de choses qui ne le regarde pas en cherchant dans le ciel et la terre d’autres réponses que celles données par les Dieux, en publique.
Ensuite, Mélitus l’accuse plus récemment de corrompre les jeunes en les détournant des Dieux pour préférer les Démons, et de leurs enseigner ses choses fausses.
De plus, il ne reconnaitrait pas la religion de l’état, qui est un crime grave.
Ensuite il serait inventeur de théorie et idées allant à l’encontre de la religion et qui voudrait le mal de la société.
Socrate n’aura aucun mal à réfuter toutes ces accusations, malheureusement, certaines ont beaucoup été proférées lorsque les juges étaient encore enfants. Ces idées sont alors déjà bien encrées en eux, même si Socrate leurs prouve le contraire.

La mort vu par Socrate:

La mort est un bien, car elle est ou une fin définitive, un sommeil sans fin, ou bien une vie immortelle.
Si cette fin définitive nous attend, où toute conscience disparait, nous serons enfin au calme, sans ennuis ni soucis, sans pensé, sans malheur, … Socrate la compare avec une nuit sans rêves, celles où l’on dort paisiblement, avec aucune notion du temps, et dont on garde un très bon souvenir comparé aux autres nuits agitées de rêves et de cauchemars. Cette mort serait le repos attendu.
Si par contre un autre monde nous attend, un véritable paradis, tout y serai bien mieux. Il y aurait enfin une justice sans faille, des hommes des temps anciens et nouveaux pourront échanger des idées et débattre, connaître des vérités et vivre éternellement.
Mourir n’est pas une véritable fin, mais juste une délivrance des désavantages de la