Article becker
- approche contraire à l’interaction : toute activité est une rép. à une impulsion provenant de qqe part (si rien ne pousse les ê humains à l’action, alors ils n’agissent pas) la théorie des instincts : les gens st poussée à l’action par des besoins impérieux (qui sont immuables, inchangeables)
Noyau de vérité : ns avons ts des besoins alimentaire, ms ceux-ci doivent ê appréhendés comme des désirs qui peuvent ê satisfaits d’une certaine manière (manière apprise lors d’interactions avc l’environnement, les gens) la théorie Stimulus-réponse : les gens st poussés à l’action par des stimuli externes pr lesquels ils ont appris les bonnes rép.
Noyau de vérité : je peux avoir un cpt automatique uniquement lorsque je suis sûr que la réponse des autres sera ce qu’elle a tjrs été, ss chgt (ex : traversée la rue aux feux ss entrer en collision avc les autres) les théories de la culture : action en fct de ce que la cult. affirme comme étant la bonne manière de faire
Noyau de vérité : il existe un accord partagé plus ou moins connu de ts les participants ds une qqconque action collect.
Ici ces approches envisagent un monde d’ind. isolés.
Or, l’interaction, par définition, n’est pas une activité solitaire mais accompagne le dvppt de l’action collect. - approche interactionniste : les ind. st tjrs en train d’agir, de trouver des solutions pour accomplir ce qu’ils veulent la conduite humaine n’est jms automatique mais implique tjrs la possibilité d’une pause pdt ces pauses, l’acteur réfléchit aux réactions des autres et, ainsi peut adapter son action, on parle alors de stratégie
Ex : le jeu d’échec ce n’est pas que l’affaire de 2 pers. ms de ts les gens impliqués ds l’action
=> action collect. (efficace mm si elle ne correspond pas aux attentes initiales de l’acteur) - approche conversationnelle : les ind. ont une gestuelle qui signale leurs intentions aux autres interaction = langage -