Assommoir Emile Zola
Zola utilise une description de différents points de vue, en opposant celui Gervaise, qui elle regarde la machine avec curiosité elle qui a horreur de l’alcool, qui est la cause du décès de sa mère, au point de vue de Mes-bottes, lui qui est alcoolique regarde la machine comme un homme pourrait regarder une femme « les yeux attendris, fixés sur la machine », « elle était bien gentille ». Il utilise également des verbes de perception tels que « entendait-on » afin de donner l’impression au lecteur d’y être. Il utilise également le discours indirect libre pour exprimer le point de vue de Mes-bottes afin Zola utilise un champ lexical technique afin de décrire l’alambic tel que « l’énorme cornue », «ce gros bedon de cuivre », « le bout du serpentin », afin de donner l’impression au lecteur que la personne est instruit en la matière, il produit un effet de réalisme et démontre la culture vaste du romancier naturaliste. Tout en rappelant que Zola faisait une enquête à la manière du scientifique pour nourrir ses romans. Il utilise également une description réaliste afin que le lecteur ait l’impression d’être au milieu de la scène
Zola utilise également une description fantastique de l’alambic dans le but de dramatiser l’action et d’annoncer en filigrane le destin tragique de Gervaise et de Coupeau qui sont dévorés par le monstre de l’alcoolisme. Il donne une vision satanique de l’alambic suggéré par des images de flammes ainsi que d’ombres. Il utilise plusieurs figures de styles afin de faire passer ce message,