ASTHME MEDECINE CHINOISE
http://www.invs.sante.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-chroniques-et-traumatismes/Asthme/Surveillance-epidemiologique-de-l-asthme-en-France
http://sante.canoe.ca/channel_condition_info_details.asp?disease_id=137&channel_id=31&relation_id=55973
htt/www.med.univ-montp1.fr/enseignement/cycle_2/MIA/Ressources-locales/Pneumo/mod1diag_asthme.pdf
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http://www.santemagazine.fr/maladie-asthme-238.html
Diagnostic Le diagnostic d’asthme repose sur l’interrogatoire et l’auscultation.
Il doit être confirmé par des examens complémentaires : Mesure du souffle : Elle est indispensable pour le diagnostic et le suivi de la maladie. Pour le diagnostic, on peut rencontrer deux situations. Dans la première, le patient est vu à distance d’une crise banale, à un moment où il va bien. Son souffle, mesuré grâce à un appareil appelé spiromètre, est également normal. La mesure n’apporte alors pas d’élément important pour le diagnostic. Il faut alors recourir au « test de provocation » qui permet de déclencher artificiellement une petite crise, qui est immédiatement interrompue par l’inhalation d’un broncho-dilatateur. Au contraire, lorsque le patient est vu en période de gêne respiratoire, la mesure du souffle sera anormale. Cependant, cette anomalie peut se rencontrer dans d’autres maladies, notamment la forme de bronchite chronique dans laquelle les bronches s’obstruent, appelée aujourd’hui broncho-pneumopathie obstructive chronique ou BPCO. Pour faire la différence entre l’asthme et d’autres maladies des bronches, on procède alors au «test de réversibilité» : le patient respire une à deux bouffes de broncho-dilatateur et le souffle est à nouveau mesuré. L’augmentation de souffle lors de cette deuxième mesure est un argument important en faveur du diagnostic d’asthme. La mesure du souffle est également capitale pour adapter