Astérix en hispanie
Leur façon de parler et aussi particulière. Tout le monde dit ‘olé !’ dans n’importe quelle situation, on le dit pour tout, ce qui n’ pas de sens pour nous les espagnols car nous utilisons cette expression pour dire ‘bravo’. Autres expressions sont le ‘ay !’ et le ‘homme’ dans toutes les conversations. Tous les deux utilisés comme interjections, sans sens.
Dans la première scène César passe revue et les ibères parlent. Apparemment ils ne comprennent pas ce que César fait. Ils alludent aux ‘corridas de toros’.
Dans la scène où les romains enlèvent l’enfant du chef des ibères, lui, il crie ‘Si je te tenais, Romain, je te ferais frire dans de l'huile d'olive !’. Ça montre une partie de la gastronomie espagnole.
Comme exemple d’enfant on prend le fils du chef d’Hispanie, Pépé (nom typique espagnol), qui dans l’histoire vient de Périclès et pas de José. Peut-être parce que les français ne savent pas d’où vient ce prénom ou bien parce qu’ils construisent les noms affectifs en répétant la première syllabe du prénom, comme par exemple Miriam, Mimi.
Cet enfant est mal élevé, capricieux. Il dérange tout le temps. Avec son caprice on apprend qu’en Hispanie on mange normalement du poisson au lieu du sanglier comme les Gaulois le font. En plus, selon Obélix, Pépé est une mauvaise influence pour Idéfix.
Dans son chemin vers l’Hispanie, les protagonistes rencontrent des compatriotes qui vont en vacances en Hispanie. Et dans deux scènes en Hispanie, Obélix et une femme romaine disent qu’il fait chaud. On voit que les Français voient l’Espagne comme un bon lieu pour leur vacances parce qu’ils pensent qu’il fait toujours beau. Dans cette scène un gaulois dit qu’il porte son sanglier parce qu’il méfie de la façon de cuisiner