Atelier
I- Scène d’exposition
a) Atelier
-> Monde ouvrier : confection
-> Monde femmes
-> Intimité : elles sont juives
-> Complicité
-> Elles se connaissent raconte leur vie : détendu
Quotidien donne place au naturel
b) Jeux de scène
-> Entrées multiples : dynamisme, circulation
-> Ponctuation : points de suspension
-> Syntaxe facile : langage familier
-> Réponse éclectique : nominale
-> Rythme varié : parole/ gestes/silence c) je sais pas comment l’appeler cette partie ^ -> Ton pathétique : Simone inspire la compassion
Seule avec ses enfants / fait place aux souvenirs & aux regrets
-> Joie de vivre : volonté de désamorcer le tragique
II- Originalité de la pièce
a) Présentation des personnages
-> Tout de suite : nombreux
-> Elles se présentent elles même : double énonciation
b) Didascalies
-> Nombreuses, longues et importantes
-> Phénomène du XXe siècle
-> cadre spatio-temporel
c) Mise en scène
-> Peu de libertés pour le metteur en scène
-> Intervention du dramaturge dans la mise en scène
-> Il ne voulait pas que la pièce soit jouer
Conclusion : - Mélange de ton * Originalité * Fin en suspend -> donne envie de savoir la suite * Scène d’exposition -> dynamique, qui attire
* Comment parler de déportation sans tomber dans le pathétique ?
Scène 5 : Observer la construction du dialogue.
Analyser l’expression d’un pathétique épuré
I- Dialogue informatif
a) Sujet difficile
-> Interrogatoire : didascalies
Questions resserrent la réalité
-> Rapport de victime (Simone) à bourreau (presseur)
b) volonté de témoignage
->Déportation
-> Presseur déporté : il a de l’expérience : il montre la vérité.
-> Fin 42 on exterminait plus qu’au début 42
-> Camp d’extermination ou de