Au bonheur des dames
Présentation du plan puis résumé du livre
Au Bonheur des Dames
Au Bonheur des Dames est créé en 1822 par les frères Deleuze et est à l’époque un magasin de nouveautés (cad qui vent des tissus des soieries…). Lorsque l’ainé est mort, sa fille s’est mariée avec le fils d’un fabricant de toiles, Charles Hédouin ; et, à la mort de celui-ci, elle se marie avec Octave Mouret. Peu après ce mariage, l’autre frère meurt sans enfant et sa partie du magasin revient à Mme Hédouin.
Celle-ci lors d’une visite des travaux pour l’agrandissement du magasin est tombée dans un trou et est décédée suite à ses blessures ce qui laisse Octave Mouret seul propriétaire du magasin.
Suite à cela il achète les maisons qui l’entourent pour agrandir son magasin.
I. Histoire des grands magasins
Au 19e siècle, les grands magasins parisiens ont mis un terme à un commerce anarchique. C’est à eux que l’on doit les prix affichés, les soldes, les livraisons et encore d’autres choses. Au 19e siècle, l'abolition des corporations et la révolution industrielle font souffler un vent nouveau sur la distribution. Ce grand chamboulement du commerce a fait naître des initiatives révolutionnaires pour l’époque sur les grands boulevards. Les magasins de nouveautés proposent donc pour la première fois sous la même enseigne tout le nécessaire à la toilette féminine : draperie, soierie, mercerie, bonneterie, dentelles, fleurs…
L’essor des grands magasins est dû à l’enrichissement de la bourgeoisie à cette époque, notamment grâce aux travaux d’Haussmann. Ces grands magasins ne sont ni destinés à la noblesse car les nobles avaient des confectionneuses ni au peuple car l’humanité commune n’a pas les moyens de s’intéresser à la mode. Leur cible est donc essentiellement la bourgeoisie. Les origines du nouveau commerce
Alors que les grandes filatures industrielles tout justes construites permettent la production en série et la baisse du prix des tissus, des pratiques innovantes