Au nom de tous les miens
Et puisqu'il faut bien vivre, il s'engagera ensuite dans l'Armée rouge, puis partira aux Etats-Unis... Enfin la paix reviendra. Martin reconstruit alors sa vie et rencontre le grand amour en la personne de Dina.
C'est dans le sud de la France, par une journée d'été éclatante, que le destin le blessera à nouveau - à mort - en décimant ceux qui lui sont le plus chers.
Ce récit de vie, extraordinairement dramatique, a fait le tour du monde. Traduit dans plus de vingt langues, adapté au cinéma par Robert Enrico (avec dans les rôles principaux Michael York et Brigitte Fossey), devenu ensuite un feuilleton, il continue à toucher des millions de lecteurs car son message de courage, mais aussi d'espérance, est universel.
Mon avis : Comme prévu étant donné le sujet, c'est un récit très fort, qui ne laisse pas indifférent. A plusieurs reprises j'ai posé le livre, par besoin de respirer et de me couper un peu des faits dont il est question - ayant lu Si c'est un homme et d'autres livres sur le sujet (je cite Si c'est un homme car c'est sans doute celui qui m'a le plus marqué, qui évoque ces horreurs de la façon la plus explicite, et parce que je l'ai lu plusieurs fois), visité le mémorial de la Shoah, effectué un voyage en Pologne il y a quelques années pour visiter le ghetto et le camp de concentration de Cracovie, ainsi qu'Auschwitz-Birkenau, je n'étais pas complètement ignare, mais certains faits m'ont tout de même beaucoup choquée, et je pense de toute façon que les descriptions de conditions de vie inhumaines telles qu'on les trouve dans ce livre ne sont pas le genre de choses auxquelles on peut s'habituer