Autobiographie

565 mots 3 pages
C’était un 20 août, je suis née à Istanbul, en Turquie, d’un père grec et d’une mère anglaise. Alors que mes parents ne savent pas parler le Français, ils ont décidé de me mettre au Lycée Français Pierre Loti. Une fois rentrée dans cette école, j’ai eu des problèmes d’adaptation car je ne connaissais pas la langue. Je me suis souvent sentie rejetée et éloignée de ce monde << étrange >>. Je racontais tous mes << malheurs >>à ma grand-mère paternelle. Une nuit, je me réveille avec des grosses douleurs au ventre, j’ai eu un pressentiment qu’il allait se passer quelque chose d’horrible. Aussitôt je pousse un cri perçant pour exprimer ma souffrance. Alors ma mère vient me secourir. Quand elle aperçoit mon état malade, son sang ne fait qu’un tour. Mon père est resté zen, il a appelé l’ambulance. Les ambulanciers sont arrivés, ils m’ont mis sur un brancard et nous avons pris la direction de l’hôpital le plus proche. Une fois arrivé, un docteur m’a examiné et nous a annoncé la mauvaise nouvelle. Mon appendicite était prêt à exploser, heureusement que je suis arrivée dans les cinq dernières minutes. Je ne comprenais point, le tournant de cette situation. Au courant de rien, on m’emmène dans le bloc opératoire. On me fait une anesthésie et je m’endors… L’heure où j’ai ouvert les yeux, j’étais dans ma chambre. Ma famille était à mon chevet et à mes petits soins. Une semaine plus tard, je suis rentrée chez moi. Arrivée au CE2, j’avais déjà choisi ma vocation, maintenant je possédais qu’une seule ambition : C’était de devenir un oncologue. L’évènement qui m’avait orienté vers ce choix fut la mort de mon arrière-grand-mère maternelle, atteint d’un cancer de la langue. Enfin, je fis ma rentrée au collège. Suite à mes résultats brillants dans toutes les matières, jusqu’en seconde, je choisis une première scientifique pour pouvoir réaliser mon rêve d’enfance. En terminale, au mois de juin, je passai mon bac avec une mention bien. Je me

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