elon Kant, un acte est jugé moralement acceptable s’il est en accord avec la nature. Hors, la nature fait en sorte que les femmes peuvent perpétuer la vie. Donc, allé à l’encontre du déroulement normal de la grossesse, avorter, est un agissement qui vas à l’encontre de la nature. Kant prône aussi l’accomplissement du devoir. Il est clair qu’une femme enceinte à la devoir de compléter sa gestion afin de mettre un terme à sa grossesse. Du moins, elle doit faire tout ce qu’elle peut pour que son enfant est la chance de venir au monde. Dans l’optique ou une mère ne désire pas garder son enfant pour des raisons raison personnelle, on peut dire qu’elle utilise sont enfant comme un moyen de garder une certaine qualité de vie. Que ce soit pour des raisons financières ou des raisons de santé mentale, pour certaine femme victime d’un viol la vue du fruit de l’agression qu’elles ont subit peut provoquer un certain malaise émotif qui peut nuire à la santé mentale. Cette manière de percevoir l’enfant qu’elles portent va à l’encontre de la règle d’or de la morale de Kant : « Agis de telle sorte que tu traites l'humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen » Cf. Emmanuel Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, traduction de Victor Delbos, Paris, Éd. Delagrave, 1959, p150. Cette règle à pour but de différencier l’homme de l’objet. Emmanuel fait une distinction très clair entre l’objet et l’homme. Le premier est invulnérable et remplaçable. Alors que le fœtus, ou l’embryon, est unique et ne peut être remplacé. Il est alors évident que si un avortement à lieu et que la même femme redevient enceinte du même homme, ce n’est pas l’enfant le même fœtus qui va revenir. Mais un autre être complètement unique et différent du précédent. Dans un autre ordre d’idée une femme dont la santé est mise en danger par le fait qu’elle soit enceinte à comme raisonnement de tout faire pour ne