Bac maths l
Cette tendance est le marketing sonore lequel, par l'utilisation des sons d'un produit, doit susciter chez le consommateur des émotions le motivant à acheter. De façon générale, le consommateur est constamment à la recherche de divertissement et de plaisir à travers son acte d'achat. Des industriels se posent donc par exemple en ce moment la question si le bruit du clapet d'un téléphone portable influence le choix du client dans un magasin.
Un autre exemple: Quel bruit devra faire la portière d'une Berline pour donner une impression de confort et de luxe?
Réponse : Un bruit velouté.
Il reste à définir de façon objective le velouté du bruit!
L’industrie alimentaire travaille depuis longtemps sur les sons comme le crépitement du lait versé sur les céréales, le bruit de la mastication, le craquement des chips… De même, les fabricants de cosmétiques n’hésitent pas à analyser la qualité du «plop» produit par l’ouverture d’un pot de crème. La marque Dior a même travaillé le son de la brosse d’un mascara sortant de son étui.
Côté électroménager, les industriels essayent surtout d’éliminer les bruits les plus gênants.
Le service recherche et développement d’Electrolux a réalisé un système d’ouverture silencieux pour les tambours de ses lave-linge qui habituellement claquent avec un bruit métallique peu rassurant. Il suffit de presser un bouton pour que les clapets s’écartent lentement et sans bruit. Ces différentes sonorités sont étudiées pour séduire et rassurer le consommateur sur la valeur du produit.
Depuis peu, les constructeurs automobiles ont compris l’importance des sons. C’est le cas, par exemple, de