Bale
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Introduction
Un an et demi plus tôt, la faillite de Lehman Brothers avait fait l’effet d’une bombe sur la place financière, la chute de la plus prestigieuse des banques d’investissement internationales a permis de révéler au grand jour l’état des bilans de ces établissements prêts à tout pour accroitre leur rentabilité. Depuis plusieurs mois, le Comité de Bâle s’attache à rédiger de nouvelles règles bancaires censées prévenir le secteur de toute crise telle que l’on a connue. Venant renforcer les bilans des banques, « Bâle 3 » se heurte pourtant au refus catégorique des établissements bancaires
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Plan
Introduction I- le passage de Bâle I à Bâle II II- Bâle III III-Le sommet de G20 à Séoul conclusion
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I- le passage de Bâle I à Bâle II
Les normes de la réglementation prudentielle internationale
L’accord de Bâle I : Le ratio Cooke
Adopté en 1988 par le comité de Bâle, le ratio Cooke, définit le montant des fonds propres minimum que doit posséder une banque en fonction du risque pour se couvrir contre les risques de contrepartie. Dans sa version préliminaire, le calcul de cette norme se base sur un système de pondération. Le succès de ce ratio s’explique, en grande partie par sa simplicité méthodologique et sa mise en œuvre aisée, ce qui contribue à l’universalisation de cette norme initialement adoptée par les pays du G10.
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Limites
le ratio Cooke n’arrive pas à accroître l’efficience de l’intermédiation bancaire et à réduire la corruption. le calcul de ce ratio ne permettent pas une évaluation correcte des risques ce ratio tient compte du risque crédit et ignore la présence d’autres risques tels que le risque de marché et le risque opérationnel par exemple ce ratio n’est pas adéquat pour faire face aux forces de la globalisation financière
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I- le passage de Bâle I à Bâle II
Les normes de la réglementation prudentielle internationale
L’accord de Bâle II : Le ratio