Baudelaire

504 mots 3 pages
Baudelaire

Précurseur du symbolisme
Né en 1821, mort en 1867
Son père meurt lorsqu’il a 6 ans. Son beau-père est militaire, il le détestait. Il adorait sa mère
Élève brillant et rebelle
Bachelier il fréquente les milieux artistiques
Il est dandy (posture, se comporte de façon noble, hautain)
Envoyé à Calcutta en Inde, Escale à l’Île Maurice : les couleurs, les parfums et la culture vont influencer son écriture
A 21 ans il prend un bateau pour la France
Il commence à publier des poèmes
1842- Il rencontre une femme (mulâtresse)- Jeanne Duval, elle inspirera sa poésie
Il écrit des poèmes, essais sur les stupéfiants « Du vin et du Haschich »
Traducteur d’Edgar Allan Poe
« Fleurs du mal » : Il y a de la beauté dans le mal (post romantique)
1848- Inspiratrice de « l’Invitation au voyage » Marie Daubrin (actrice) → Jeanne est devenue acariâtre (mauvaises humeurs)
Av. 1857- Mme Sabatier a inspiré plusieurs poèmes des « Fleurs du mal »
1857- Il écrit « Les Fleurs du mal » condamné pour immoralité (6 poèmes expurgés)
1864- Fin de sa vie marquée par la syphilis, des difficultés financières (songe au suicide)
Puis ses soucis s’aggravent : souffre d’une hémiplégie (paralysé)
Aphasie- ne peut plus parler : « crénom »

Les Fleurs du mal- Recueil poétique publié en 1857

Reprend toutes ses créations depuis 1840
Retouché en 1861 après condamnation en justice
Extraire la beauté du mal
Transfigurer par le travail poétique l’expérience douloureuse de l’âme humaine en proie aux malheurs de l’existence : « tu m’as donné ta boue, j’en fais de l’or »
Le mal fait référence au :
Mal social (être déchu)
Mal moral (goût pour le crime ou le sadisme)
Mal physique
Mal métaphysique ( âme angoissé car il est athée)
Évoque ses tourments internes, la fêlure qui meurtrit son âme, la lutte sans fin entre le Spleen et l’idéal qui le consume
- Spleen : mot anglais qui désigne la rate : en effet, on croyait autrefois, selon la théorie des humeurs d'Hippocrate, que le sentiment de mélancolie était

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