Beaudelaire
Ses études furent remplis de rêverie, les supportant difficilement. Il a déjà un grand intérêt pour la poésie. Il lit Victor Hugo et Sainte-Beuve. Composant quelques vers, il se fait renvoyer avant de terminer son baccalauréat, qu'il terminera dans un autre collège.
Son beau père, maintenant général, voudrais bien le voir diplomate mais Charles mène une vie désordonnée avec des jeunes provinciaux passionné de poésie. Jacques Aupick, son beau-père, apprend de son fils que Charles à même contracté une maladie vénérienne. Il décide alors de l'envoyer faire un voyage en Inde, en 1841. Par grande chance, le bateau sur lequel il se trouve Charles est surpris par une grande tempête qui fits débarqués prématurément les pasager sur l'iles Maurices. Charles refuse de rembarquer pour l'Inde et rentre en France.
Atteignant sa majeurité, Beaudelaire reçois l'héritage de son père. Il vit bien au dessus de ses moyens. Avec ses amis poètes, il fréquente plusieurs musée, restaurants, cafée et atelier d'art. Il récite ses premiers poèmes. Jeane Duval, petite actrice mûlatresse, cohabite avec Charles. Et parce qu'en 2 ans il a englouti la moitié de son argent, sa famille lui impose un conseil judiciaire. Il se voit maintenant verser un montant par le notaire, qu'il trouve bien trop petit à ces yeux.
De 1844 à 1848, il vit de ce qu'il peut. Étant collectionneur de tableau, bibliophile, il publie a ving-quatre ans un compte-rendu d'exposition : Le salon de 1845. Il ne remporte aucun succès. Il tente de se suicider même. Mais son seuxième ouvrage, Le salon de 1846, dans la même lignée, est bien plus étoffé. Buvant de l'alcool et prenant des médicament à base d'opium et vivant d'une vie bohème, il soigne toujours son habillement.