Beaumarchais le mariage de figaro
I-Une distribution des rôles évidente :
Dans un premier temps, figaro et son souverain discutent de la fête célébrant son mariage puis en reviennent à l’histoire de la cheville foulée chez Figaro. Le comte nargue Figaro pour qu’il avoue tout mais celui-ci est doté d’un art de l’esquive. Puis, Antonio apparait, décrivant les mouvements de figaro ce jour là et essayant de comprendre la situation avec la place de Chérubin. Le comte en rajoute en rappelant la présence du billet dans sa poche. Chérubin apparait, tiré par le bras. Il est nommé « une » par Antonio. Il aurait alors avoué que ca aurait été lui qui se serait jeté par la fenêtre. Antonio appelle Figaro de « neveu futur » prétendu soit disant de « menteur » par le page. Figaro, « surpris », qui pensait que Chérubin était de son coté, est mécontent ; il le traite de « peste de petit fat ». Ils sont maintenant trois face à Figaro, faisant l’ignorant et Antonio essaie de « rafraichir » la mémoire du valet (Y es-tu maintenant ?). Figaro réplique qu’il n’est pas au courant et qu’il est probable que plusieurs hommes sautent. C’est ainsi qu’il finit par adresser la parole à Suzanne pour arrêter la conversation devant lui faire avouer ses mensonges.