Analyse Big Fish
Je pense que la raison pour laquelle on aime autant les films dit de sous genre, c’est qu’ils nous permettent de s’évadé de nos problème du quotidien et d’entrer dans un monde imaginaire ou l’on sait pertinemment qu’une fin heureuse est fort probable. Qui de plus débordant d’imagination que Tim Burton. Dans son film Big Fish celui-ci aborde le thème du réel et de l’imaginaire.
Big Fish, c’est l’histoire d’Edward Bloom, un homme ordinaire qui arrive a la fin de sa vie, il essaye de sortir de cette vie terriblement ordinaire en enjolivant un peu les histoires qu’il a vécues. Son fils Will quelqu’un de très terre à terre, ne comprend pas ce besoin de raconter des histoires et pense que son père lui ment de bout en bout sur sa vie. C’est quand son père s’apprête à mourir qu’il comprend l’importance d’imaginer des histoires. C’est ce que l’on va voir dans l’extrait suivant.

Alors que la mort est un sujet assez dur et triste, Tim Burton arrive à le transformer en Conte de Fée.
I – Les caractéristiques d’un sous-genre : Le conte de Fée 1) Le fils Conteur
La présence de la voix off ainsi que plusieurs retours sans la réalité.
*Nous donne l’impression d’être dans un conte. Comme a lorsqu’un parent raconte oralement une histoire a son enfant.

2) Un schéma narratif
Situation initiale : Edward à l’Hôpital, va bientôt mourir il veut rejoindre la rivière.
Elément perturbateur : La réalité de la vie.
Péripéties : Obstacles rencontré, le docteur et les infirmières qui vont l’empêcher de partir. Les Catholiques qui sont extrêmement lent. Course en voiture.
Situation Final : Il se fait aidé par sa femme et un monstre fantastique, le géant. Tout est bien qui fini bien. On a une fin heureuse. Il atteint la rivière et meurt tranquillement accompagné de tous ses amis les plus proches.
* Aventure 3) Un monde féerique
Des personnages extraordinaire : Géants, siamoise, loup garou
Un lieu féerique : la