Je m’appelle Frédéric-Louis Sauser très connu sous le nom de Cendrars. Je suis né en Suisse en 1887 issu d’une famille de voyageurs, qui d’ailleurs m’a donné le gout des voyages, ma mère est écossaise et mon père est suisse, qui a cherché à faire fortune au Caire , puis à Naples .Dès mon plus jeune âge, Je suis rêveur et solitaire, et je n’aime pas les études, mais je suis passionné par la lecture. je rêvais déjà de partir à l’aventure surtout voir le pays d’origine de ma mère l’Ecosse. Mais a 16 ans j’ai décidé de voler de mes propre ailes je suis parti de chez moi et j’ai pris le premier train qui passais à la gare. Après de long heures de trajet, je suis arrivé à destination quelle fut pas ma surprise d’arriver à un endroit où je m’y attendais pas en Russie où j’ai travaillé chez un joaillier-horloger j’accompagnais les livraisons de bijouterie jusqu’en Sibérie.
Je suis retourné en Suisse en 1907 où j’ai commencé des études de médecine et de philosophie mais j’ai dû arrêter car ça n’était pas mon fort et en plus de devais aller à Paris en 1910 où je me suis installé .J’ai passé l’hiver de 1911 à New York ville qui m’a beaucoup inspiré où j’ai écrit mon premier poème « LES PAQUES A NEW YORK » que j’ai publié en 1912 dans la revus « LES HOMME NOUVEAUX » que j’ai fondé a Paris. Désormais je suis Blais Cendrars pourquoi ce nom ? Blaise pour la braise et Cendrars pour les cendre j’aimais bien ce nom parce qu’il fait référence au phénix.
En 1913, de mes souvenirs de jeunesse j’ai composé mon plus beau poème, Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France.
J’ai noué des amitiés avec des poètes et des peintres comme Robert et Sonia Delaunay. D’ailleurs elle a peint mon magnifique poème « LE TRANSIBERIEN » sur une fresque pliante de 2 mètres Mais un jour tout bascula dans l’ombre à cause de la guerre. Je me suis engagé comme volontaire dans la légion étrangère. Mais le plus triste dans cela c’est que j’y ai laissé une main je me souviendrais