Boi à petits prix
Plus souciants de l’environnement, de l’impact de l’industrie sur la nature et également sur notre santé, les gens consommateurs se sont tournés vers l’agriculture biologique et vers les produits issus de cette agriculture. Les produits de beauté n’ont pas été négligés épargnés et même les grandes marques ont lancé des gammes de produits cosmétiques bio. Si en 2005 il existait 40 marques de cosmétique bio en France selon Eurostaf, en 2010 elles étaient 235.
Grace à l’apparition de la cosmétique bio, lea marchécible s’est élargie aussiapprofondit. Avant les produits de beauté touchaient principalement la clientèle traditionnelle, aujourd’hui avec les produits bio les entreprises marques de cosmétique ont réussi à conquérir le public plus large et particulier comme militants écolos ou les utilisatrices, personnes présentant des intolérances cutanées à certains conservateurs.
En mêeme temps les modes de consommation ont évolué. Que ce soit en GMS ou en distribution selectifselective,. L le consommateur, éco-citoyen, devient de plus en plus soucieux de réduire son empreinte carbone. Il devient attentif aux distances d’approvisionnement, donc ses déplacementset de distribution. Il préfère des produits de proximité et se méfie à l'égard des marques multinationales. C’est pourquoi la grande distribution est passée au petit format. L’apparition et la diffusion des supérettes comme Carrefour Express ou Monop’ ou encore Marché U en est la preuve.
En distribution sélective les grandes marques ne suffisent plus pour attirer les consommateurs et surtout de plus elles ne rapportent plus de marges suffisantes. La conscience écologique a gagné les esprits et une certaine notion de «durabilité» s’est installée dans le mode de consommation. L’époque quand on « consommait pour consommer » tire à sa fin. La crise économique a également joué son rôle d’accélérateur de cette tendance. Dans les