Camu
Le roman d'Albert Camus, "L'étranger" est absurde et effronté. Cela devient apparent dans les premières lignes de l'histoire où Meursault ne connaît pas exactement quand sa mère est morte. Evidemment, après avoir lu ce livre et regardé en arrière, c'est facile et peut-être même agréable d’appeler un perdant cet homme irrégulier et étrange. L'acte simple de sauter à une conclusion, sans éducation, au sujet de cet homme mystérieux qui est Meursault, est vraiment pas du tout suffisante, parce qu'il nous rejette pour obtenir toute signification authentique de ce qu'il représente. Maintenant je vous invite à revoir les mécanismes complexes de ce morceau philosophique et creuser plus profondément dans la quintessence du raisonnement.
Camus avait évidemment une intention claire pour ce roman, c'était d’ être un personnage qui a la croyance dans l’ existentialisme. Meursault était le candidat évident pour ce travail et Camus l'utilise en parlant dans la première personne, en tirant le lecteur plus proche au caractère de Meursault. Il utilise cette approche et presque intime relation avec le personnage principal. Ses actions, mots et la perspective sur la vie nous paraissent nous si étranges et insondables, parce que tout est exposé pour nous par circonstance.
Où le patron de Meursault a dit qu'il a toujours évité la question, ce n'était pas vraiment ce Meursault qui ne pourrait pas répondre à une question, mais qu'il a refusé de rendre la vie plus facile en mentant. C'est un des traits principaux de Meursault que la société a remarqué. Il était différent et par conséquent dangereux parce qu'il n’aurait pas pu se comporter dans public d’ une façon qui aurait été acceptable par la société. Meursault a refusé de montrer une émotion. Clairement ce monstre froid et irrespectueux n’était pas seul coupable du meurtre de l'Arabe ainsi que de la mort de sa mère. L'attitude pitoyable et hypocrite des gens de la ville a démontré