La Rébellion de 1837-38 est un évènement marquant pour le Québec. Cette bataille entre le Bas-Canada, connu sous le nom «les patriotes», et le Haut-Canada, est souvent à l’origine des œuvres littéraires de plusieurs écrivains québécois. En particulier, Louis Caron, un auteur engagé qui à baser sa trilogie, Les fils de la liberté, sur la lutte des citoyens du Québec durant ce moment historique. C’est dans son premier roman, le canard de bois, que l’on suit les aventures de Hyacinthe Bellerose, un révolté s’opposant à tout acte d’injustice. L’auteur démontre qu’à chaque fois qu’on commet une injustice, c’est une nouvelle dent qui pousse. Où un jour ou l’autre il mordra. En mot, l’accumulation d’action injuste dans son roman, mène les personnages à se révolter.

En premier lieux, dans le roman le canard de bois par Louis Caron, il est évident que ce dernier prouve la thèse en incorporant abondement des actes d’injustices. D’abord, les lecteurs sont témoins d’un abus de pouvoir du marchand Smith, un arnaqueur. Croyant posséder une certaine supériorité sur les citoyens, il se permet de poser un geste inadéquat à l’égard du Major Hubert. Le marchand Smith ordonne ces servants irlandais de jeter son bois dans la rivière. Il affirmait que le major n’avait aucun droit de déposer ces produits sur le quai. «Citation». Déjà que le marchand Smith discriminait les français pauvres et les arnaquait, il se donne, de plus, la permission de faire de même au Major, un député du partie Patriote. Cet abus de pouvoir démontre qu’il est injuste non seulement envers les citoyens, mais aussi avec le représentant des Patriotes, un haut gradé dans le rang social. En outre, la religion est un aspect qui commet la majorité des injustices dans le roman. L’Abbé Mailloux, le personnage religieux du roman, abuse de son autorité paroissienne. Il se donne l’autorisation de faire des menaces aux français. Ceci s’est produit lors des élections où Hyacinthe témoignais en