Candide, voltaire
Résumé du chapitre 22
Candide et Martin sont en direction de Venise.
Candide donne son tout dernier mouton à l’Académie des sciences de Bordeaux (Clavelée : maladie contagieuse auprès des ruminants).
À force d’entendre les voyageurs, Candide décida de faire un détour vers Paris.
Immédiatement, il tomba malade dû à la fatigue.
Puisqu’il avait de l’argent à la porté de main, il eu des médecins, des amis et des dévotes sans en demander aucun.
Martin pour sa part, il dit que nous n’avons pas besoin de tout ces gens pour guérir (il a vécu l’expérience).
Sa maladie s’aggrava, mais il guérit tout de même. Près de lui se trouvait l’abbé Périgourdin. Voltaire dit que l’abbé était un homme alerte, serviable, effronté et accommodant.
Ensuite, Martin, Candide et Périgourdin résonnèrent ensemble.
Périgourdin amena Candide et Martin souper chez une Dame qu’il dit de qualité. Celle-ci se nomme la Marquise de Parolignac.
Au cours de cette soirée, ils jouèrent aux cartes et Candide perdit une petite fortune.
Candide fut connaissance du savant chez la Marquise. Le savant dit que tout n’est parfait et que le monde repose sur des querelles impertinentes.
La Dame veut faire des avances à Candide.
La Marquise et l’abbé écoutèrent attentivement Candide pour s’en servir contre lui.
Le lendemain matin, Candide reçu une lettre de Cunégonde, une lettre que les 2 escrocs avaient trafiquée.
Son envers Cunégonde le porta a aller la rencontrer. Il voulait à tout prix qu’elle survive.
L’abbé Périgourdin a commandé à la Police d’arrêter Martin et Candide, disant qu’ils étaient des étrangers suspects.
Le monde a escroqué Candide pour lui profiter de sa richesse. On remarque que le monde est corrompu.
Il considérait l’Enfer comme