Candide
Dans le chapitre trois de candide, voltaire dénonce les maux de la société .la guerre, l’injustice y sera dénonce ainsi que la théorie de l`optimisme.
Dans un premier temps, on fait une peinture ironique de la guerre. D’une part, la guerre est présentée comme un spectacle brillant.par exemple de la ligne 1 à la ligne 4, le narrateur s`exprime en ce terme : «Rien n’est si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées .les trompettes, les filtres, […], formaient une harmonie telle qu’il n’y eut jamais en enfer. ».La gradation employée par le narrateur démontre comment la guerre était structurée, elle souligne également un caractère très esthétique de la guerre. On y trouve aussi une énumération des instruments de musique allant du plus aigu au plus grave ce qui marque sans doute une attraction brillante de la guerre.
D’autre part, on remarque un regard déshumanisé envers l’Être humain.par exemple de la ligne 7 à la ligne 8, le narrateur dit : «la baïonnette fut la raison suffisante de la mort de quelques milliers d`hommes ».l’ironie présente dans cette citation démontre une relation sèche, purement objective. En effet, le narrateur dénonce les conséquences de la guerre, il se contente de citer les faits sans indignation, ce qui est peu efficace; l’emploi de chiffre peu précis «quelques milliers », il valorise moins la vie humaine.
Dans un deuxième temps,