Candide
Il utilise un ton vivement narquois et moqueur, dès le début du texte, un climat de moquerie. | Oxymore | «boucherie héroïque» (p.15, l.147). | Le narrateur précise des détails anatomiques horribles, suggère la souffrance des agonisants, et montre qu'il s'agit de familles entières.
Le narrateur précise des détails anatomiques horribles, suggère la souffrance des agonisants, et montre qu'il s'agit de familles entières.
La stupidité des troupes qui font des actes purement barbares : pour elles, la guerre est une boucherie certes, mais une «citation». | Champ lexical de la violence | «brûlé» (p.15, l.152), «criblés de coups» (p.15, l.153), «égorgées» (p.15, l.153-154), «sanglantes» (p.15, l.154), «éventrées» (p.15, l.155), «mort» (p.15, l.157). | Toutes les victimes sont classées: femmes, enfants, vieillards.
Une description d'un réalisme très cru montre l'ampleur des massacres.Étendu et diversifié, désigne les actes meurtriers des soldats et leurs résultat: | Métaphore | «théâtre de la guerre»
(p.15, l.162) | Les soldats : ¨acteurs¨ dans cette guerre, enfilant le costume du héros optimisme de vivre dans le ¨meilleur des mondes possibles¨.
Ton ironique : démontre l’absurdité de la guerre = plutôt une grande pièce de théâtre ou tous jouent un rôle de figurant, car il n’y a pas de vrai héros. | Énumération | «Les trompettes, les fifres,