Cannibales
Journaliste : Aujourd'hui sur le plateau de Culture & Société nous allons recevoir Raymond Douglas dit Ray Bradbury est un écrivain américain. Un des maîtres de la science-fiction, Ray Bradbury, a enrichi ce genre d'une réflexion intellectuelle et sociale dans des récits où se mêlent la poésie, la dérision, et parfois la cruauté. Nous avons la chance de pouvoir interviewer cet écrivain sur un de ces nombreux livres, Fahrenheit 451.
Journaliste : -Ma première question concerne votre vie d'écrivain, qu'est ce qui vous à donné envie de devenir écrivain?
Ray bradbury: -Depuis tout petit j'aime beaucoup la science-fiction.
Journaliste : -Fahrenheit 451 vous à rendus celébre dans les années 50, c'est bien ca?
Ray Bradbury: -Oui, il y a aussi «les chroniques martiennes» qui est un recueil de nouvelles écrite dans les années 50 qui a beaucoup plut aux lecteurs.
Journaliste: - A quoi fait référence le titre fahrenheit 451?
Ray bradbury: - Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier.
Journaliste: -Pourquoi avoir choisis un titre avec un nombre ?
Ray Bradbury: -Car c'est très rare de trouver des titres d'ouvrages accompagner d'un nombre, je pense que cela peut attirer la curiosité du lecteur.
Journaliste: -Ce livre a t-il eux des récompenses quelconque?
Ray bradbury: -Oui il a obtenu le prix hugo du meilleur roman en 1954.
Journaliste: -Pouvez-vous nous dire quelques phrases sur ce roman?
Ray bradbury: -La société déshumanisée décrite dans Fahrenheit 451 montre que de nombreuses valeurs humaines ont sombré ; l’amour, puisque Montag et sa femme ne se rappellent plus leur première rencontre, l’intelligence a aussi sombré ; en effet, les gens se contentent de l’opinion officielle et même les « gardiens de la vérité », comme Beatty, ne comprennent pas ce qu’ils disent, puisque d’après eux, la culture et le dialogue se résument à un échange de citations. Même la communication,