Cas apple
Steve Jobs était un inventeur, un innovateur, il savait "sentir" les opportunités dans les besoins des consommateurs et leur soif de nouveautés. Steve Jobs était donc bien un entrepreuneur au sens de Schumpeter
2. Un style de management correspond à la façon d'exercer le pouvoir au sien de l'enteprise.
A partir de l'analyse des styles de management, de R.Likert on peut considérer que Steve Jobs avait adopté un style de direction très directif, voir autocratique. Les décisions sont très centralisées et la pression extrêmement forte sur les membres de l'entreprise, avec un culte du chef très marqué.
Son successeur Tim Cook, n'est pas parvenu à asseoir son autorité comme l'a fait Steve Jobs. "Il est parfois impossible d'organiser une réunion avec deux dirigeants d'Apple sur un sujet qui leur est commun, tant l'animosité entre certains d'entre eux est forte". Par ailleurs, il ne parvient pas à la même efficacité : " autre raison de la fragilisation de Tim Cook, la logistique et la fabrication ne se sont pas améliorées".
Les difficultés rencontrées par Tim Cook sont très directement liées à la personnalité et charisme de son prédécesseur. Difficile d'imposer son autorité quand on succède à une telle personnalité. On peut aussi noter que ce marché est en pleine évolution et qu'il devient plus difficile à Apple de maintenir sa position.
3. Pour analyser ses performances, l'entreprise doit construire des outils permettant d'évaluer ses résultats. Robert Kaplan et Davis Norton ont proposé, en 1992, un outil : le "tableau de bord prospectif".
La performance est assimilée à la réalisation d'un résultat ou d'objectifs fixés compte tenu des moyens mis en oeuvre.
Une entreprise est reconnue