bv;hojpth;wtlmaboj9h inbk:WR kdfkkdnksdkfndkfnsdfklnsfkdsnfkdlfnkflnsdlkfnsdkfnsdfsdkfnsd- kfsdfdsnfdslkfnskdlnfkdslnfksdnfkdsnfkdsnfksdlnfklsdfndkslnf- ksdfndkslfndskfndfkdnfkdsfndsklnfsdkfndkslfnkdslfnkdsnfkdsnf- klsdfmsdvn kafnadfnkadnfalfnadlnfaknfadkfnadkfnadlkf Mohammed parle aussi fréquemment de la mort. Il fait des « exercices pour mourir»[27]quand Madame Rosa commence à dépérir. Le malheur l’accable de plus en plus à force que la dame se rapproche de la mort. Il n’a pas beaucoup d’espoir en la vie : « La vie, je l’emmerde, on a rien l’un pour l’autre.»[28] Il personnifie ainsi la vie, comme une présence, mais puisqu’il la voit de manière négative, ce n’est pas nécessairement une bonne compagne pour lui, ce rapprochant ainsi du parallèle avec la vision de Léon au sujet de la mort. Il se réfère également au titre du roman en mentionnant : « bon je savais que j’avais toute la vie devant moi mais je n’allais pas me rendre malade pour ça.»[29] Il a vu ce que la vie a apportée à sa tutrice et ça ne l’intéresse pas de souffrir autant. Il voit également la mort comme étant un soulagement pour Madame Rosa, voulant qu’elle soit « avortée», mot qu’il confond avec «euthanasier».
Ainsi, tous les deux voient la mort comme une solution à leurs souffrances et renient la vie, ne pensant pas qu’elle puisse leur apporter quoique ce soit de bon, même pas un peu de bonheur. Leur réalité ne les satisfait pas, alors même s’ils ne se suicident pas, ils ont tout de même le goût de mourir plusieurs fois dans leur récit.
Fuite dans l’imaginaire
Enfin, Léon et Momo utilisent leur grande imagination pour échapper à leur vie qu’ils décrivent de manière très péjorative. Leur détresse étant insoutenable, ils l’a fuie vers un monde plus rassurant.
Léon fait référence à son imagination quand il décide de se créer une double identité au départ de sa mère pour la Grèce : «Je pensais que ce stratagème me