Chabert
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Ce poison, on a appris au chapitre XXXI que c'est de l'acide prussique, c'est-à-dire de l'acide cyanhydrique, plus connu sous la forme du fameux cyanure, qui provoque une mort foudroyante, avec des convulsions atroces, sur lesquelles le narrateur ne s'attarde pas, sinon pour évoquer la chute de Thérèse sur Laurent. On trouve ici l'ultime occurrence du leitmotiv du cou de Laurent et de la cicatrice de la morsure de Camille, traduction et vecteur physique des remords de Laurent, et vengeance posthume du noyé, signe du destin encore.
Comme la colère de Zeus dans les tragédies, ce poison foudroie («éclair», «foudroyés»). Mais c'est surtout la vengeance de Mme Raquin qu'on voit s'exercer ici. C'est elle qui joue le rôle dévolu classiquement aux Érinyes. Au chapitre XXX, Mme Raquin avait songé un moment à se laisser mourir de faim, mais elle avait résolu de vivre jusqu'à ce qu'elle puisse dire à Camille : «Tu es vengé». Elle éprouve enfin la «joie cuisante» de la vengeance qu'elle se promettait alors. Cela explique que l'évocation de son regard sur la mort des deux complices encadre le paragraphe qui rend compte de leur suicide. On relève dans ces deux paragraphes un champ lexical du regard : «yeux», dans la première et la dernière phrase, «contemplant», «regards», qui trouve son écho dans le regard de pardon échangé entre Thérèse et Laurent. Mais les yeux de Mme Raquin sont, dans le premier paragraphe, «fixes et aigus», comme pour mieux voir