chapitre 19 & 30 candide
Devoir de Français
Explications des chapitres 19 et 30
Chapitre 19
Il faut d’abord situer l’extrait dans son contexte. Candide et Cacambo ont quitté l’Eldorado et tout va progressivement mal. Au moyen de la gradation ascendante, Voltaire nous dit que « les richesses de ce monde sont périssables ». « Deux moutons s’enfoncèrent……..deux autres moutons…….sept ou huit périrent, d’autres tombèrent. »
Le style de l’auteur est sobre. Il raconte une histoire simple qui se termine par une hyperbole, une exagération qui met en relief la situation dramatique : « cent jours de marche, il ne resta que deux moutons ».
Le message est le suivant : rien n’est permanent sauf la vertu et l’attachement aux personnes que l’on aime.
Même devant des événements dramatiques, les personnages restent optimistes parce que l’être humain est fondamentalement optimiste. Cet optimisme est renforcé par la naïveté de Candide qui s’exprime par l’antithèse : « au bout de nos peines………le commencement de notre félicité. »
Dans la deuxième partie, les personnages sont confrontés au nègre dont la situation est pire que la leur. Il était étendu par terre et avait perdu une jambe et une main. Il explique son sort avec fatalisme. Voltaire utilise le discours direct et son style rend le récit très vivant. Il est ironique vis-à-vis de la religion. Il souligne la crédulité des gens simples par rapport à la religion. Ils acceptent les croyances sans se poser de questions. La mère du nègre lui avait dit : « Bénis nos fétiches, ils te feront vivre heureux…….Nous sommes tous enfants d’Adam. ». C’est une hyperbole comique car il est handicapé. Si nous étions tous apparentés, c’est affreux de maltraiter ainsi les membres de sa famille.
Chapitre 30
Ce chapitre est important car il contient le message le plus important du livre, c’est-à-dire qu’il faut cultiver son jardin.
Il y a deux conversations clés : celle avec le derviche et celle avec le vieillard. Pangloss