chapitre 31 candide
Ils sont subjugués par tous ces bâtiments et ses lumières qui clignotent dans la nuit et qui réverbèrent sur la Seine.
Ils partent à la recherche d'une chambre.
Ils s'arrêtent dans la première auberge qu'ils rencontrent, une dame charmante leur explique qu’elle n’a plus de chambre, mais qu’à 3 km de là en passant la concorde ils trouveront la Maison d'Arpagon, riche bourgeois.
Toujours prêt à loger les voyageurs contre quelques sous.
Ils ne perdirent pas de temps, Candide dit à Cacambo :
" — C’est une ville magnifique, je suis sûre que Monsieur Arpagon a une très jolie maison où nous y trouverons un repas chaud, devant une belle flambée. — oui Maître, je me sens lasse après ce long voyage. Un petit remontant serait parfait."
Arriver, là-bas ils aperçurent et virent une grande maison mal entretenue. Il y avait des volets qui pendaient, les murs extérieurs n'étaient pas repeints, les fleurs sur le balcon étaient desséchées, il manquait de nombreuses tuiles sur le toit, la poignée de la porte extérieure était cassée, etc. Candide frappa à la porte d'entrée et attendit qu'une personne vienne l'accueillir.
La maison n'était pas comme il se l'imaginer, certes elle était assez grande, mais à première vue elle semblait abandonnée. Valere l'intendant de Monsieur Harpagon leur ouvrie la porte et les accueilla, leur fit une visite de la maison et partie prévenir son maître de l'arrivée de ces deux voyageurs.
Valere lui dit :
" — Maître, il y a de la visite pour vous, un jeune homme accompagné de son valet dit vouloir loger ici pendant 3 jours
— 3 jours ! Cela voudrait dire que je vais gagner quelques écus, que je pourrais mettre dans ma chère et tendre cassette faite les monter tout de suite pour que je puisse discuter avec ces charmants jeunes gens
— Avec plaisir maître. "