Charles Pierre Baudelaire, essayiste, critique d’art, traducteur, mais surtout l’un des poètes français les plus célèbres du 21ième siècle. Il a vue le jour à paris le 9 avril 1821, et est mort au même endroit le 31 aout 1867. Le premier événement marquant de sa vie fut la mort de son père, Joseph-François Baudelaire, alors qu’il n’avait à peine 6 ans. Un an plus tard, sa mère, Caroline Archimbaut-Dufays, se remarie avec Jacques Aupick, un chef de bataillon, qui deviendra plus tard ambassadeur. En 1831, Charles et sa famille déménageront à Lyon pour le travail de son beau-père. C’est là, au collège royal, qu’il fera sa sixième. À l’âge de quatorze ans, ils retournent à Paris, où il est inscrit comme pensionnaire au collège Louis-le-Grand, d’où il se fit renvoyer en 1839 pour mauvaise conduite. C’est à partir de ce moment qu’Il choisit de mener une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa mère et son beau-père. Il passera ensuite son baccalauréat au lycée St-Louis. Son beau-père jugeant la vie de Charles scandaleuse, il l’envoie en voyage aux indes, d’où il ne reviendra qu’en 1841. C’est à son retour à Paris qu’il rencontre l’actrice Jeanne Duval. Endetté, il est placé sous tutelle judiciaire. C’est à ce moment, vers 1842, qu’il commence à écrire les poèmes des fleurs du mal, ayant comme plus grande source d’inspiration sa maitresse, Jeanne Duval. Ses poèmes traiteront de plusieurs thème, comme le temps, le rêve, le monde, la femme etc. En 1844, sa famille s’indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d’art et critique littéraire. C’est en 1857 qu’il publie Fleurs du mal. Il sera poursuivi en justice pour « immoralité ». Plusieurs poèmes sont retirés du recueil et Charles doit payer une amende. Baudelaire est très affecté par cet échec et sombre dans la misère et dans la maladie. Il est frappé en 1866 d’un malaise qui le rendra paralysé et aphasique. Il meurt ensuite, en 1867. Ses principales œuvres ont été Salon