En France avec le choc pétrolier des années 1970 le chômage reste à un niveau élevé jusqu’au milieu des années 2000 – autour de 10 % tandis que des autres pays développés parviennent à revenir à des niveaux plus ou moins proches du plein-emploi.
Le risque du chômage concerne inégalement la population. Les catégories les plus durement touchées sont les suivants : les jeunes de moins de 25 ans, les femmes, les personnes âgées de plus de 50 ans. Les secteurs d’activité économique les plus durement touches sont ceux de l’industrie et surtout les industries employant beaucoup de mains-d’œuvre.
Les causes de chômage sont nombreuses et ils tombent dans deux catégories. La première est d’ordre économique. Le ralentissement des activités productrices, les fermetures d’usines provoque chômage définitif ou temporaire. A cause des charges salariales élevées, on préfère offrir des heures supplémentaires a la main-d’œuvre déjà formée plutôt que d’embaucher de nouveaux salaries. L’automation et nouvelles technologies réduisent la main-œuvre devenu trop chère.
La deuxième catégorie des causes du chômage est celle d’ordre sociodémographique. Les départs a la retraite sont insuffisants, le niveau des diplômes ne correspond pas a l’exigence de la vie active, et, en fin, la mobilité géographique est insuffisante.
Sauf l’indemnisation des chômeurs, la politique gouvernementale applique des mesures en faveur de l’emploi : développement de la formation professionnelle, aides à la reconversion, incitation a la création d’emplois par l’exonération partielle des cotisations patronales pour l’embauche de certaines catégories de chômeurs.
En Russie le taux du chômage n’est pas trop élevé, mais on y manque des mesures effectives pour aider des chômeurs. Le nombre des chômeurs est moins de 5%. Les plus frappes sont les