Rousseau - Les Confessions, Livres I à IV : citations
Livre premier
« Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur » p11
« Si je ne vaux pas mieux au moins je suis autre » p11
« Que chacun découvre à son tour son cœur au pied de son trône avec la même sincérité » p11
« Je me suis montré tel que je fus ; méprisable et vil quand je l’ai été, bon, généreux, sublime quand je l’ai été : j’ai dévoilé mon intérieur tel que tu l’as vu toi-même » p11
Ses deux parents
- Isaac Rousseau (horloger) « Jamais il ne m’embrassa sans que je ne sentisse à ses soupirs, à ses compulsives étreintes, qu’un regret amer se mêlait à ses caresses » p14
- Suzanne Bernard (fille du ministre) morte à sa naissance
Son oncle : Gabriel Bernard (ingénieur)
« Tels furent les auteurs de mes jours. De tous les dons que le Ciel leur avait départis, un cœur sensible est le seul qu’ils me laissèrent ; mais il avait fait leur bonheur et fit tous les malheurs de ma vie » p14/15
2 autres personnes importantes :
- sa tante « Une sœur de mon père, fille aimable et sage, prit si grand soin de moi qu’elle me sauva » p15
- Gouvernante « ma mie » Jacqueline « Les mains qui m’ouvrir les yeux à ma naissance pour me les fermer à ma mort » p15
Amour pour la lecture (avec son père) => esprit romanesque
Sinon il restait avec sa tante qui cousait
Souvenir d’enfance : les airs qu’elle chantonnait : émotion à s’en souvenir
Son frère : éducation négligée -> il tourna mal et partit en Allemagne
Quotidien paisible perturbé lors du départ de son père hors de Genève
Campagne à Bossey (cousin) nostalgie du passé p22 « Le souvenir des jours heureux que j’y ai passés m’a fait regretter son séjour et ses plaisirs dans tous les âges »
=> ouvrit son cœur « La simplicité de cette vie champêtre me fit un bien d’un prix inestimable en ouvrant mon cœur à l’amitié. Jusqu’alors je n’avais connu que des sentiments élevés, mais imaginaires. »