Climat
L’accord de l'environnement de l'ONU (protocole de Kyoto (1997))
38 pays industrialisés à réduire ou à éliminer d'ici 2012 leur émission de CO² et d'autres gaz à effet de serre
5.2% en moyenne pas rapport au niveau de 1999 efficacité est limitée en raison du rejet du plus grand polluant : les USA sous la présidence de G.W Bush. Malgré ce refus il est rentré en vigueur en 2005.
Les océans captent naturellement une partie du CO² mais une faible quantité. Les chercheurs veulent pomper le CO² à faible profondeur car il risquerait de s'échapper, pour l'injecter dans les profondeurs. Comme il fait plus froid dans les profondeurs, le gaz ce dissous mieux et donc a moins de chance de remonter a la surface.
La séquestration dans les puits de pétrole et de gaz naturel consiste a injecté du CO2 dedans afin d'améliorer leur rendement. Elle est très utilisés aux états unis d'Amérique mais elle n'est qu’une échappatoire car malgré la capacité des formations géologique contenir d'importantes quantités de CO2 aucune n'est stable .La croute terrestre est toujours en mouvement (formation de faille et cheminées d'ou s'échapperait le CO2)
Le procédé biotechnologique : Bio Fuel Systems
une solution de premier plan pour éliminer les rejets industriels de CO2 dans l’atmosphère
lutter contre le réchauffement climatique et limiter notre dépendance vis à vis des réserves de pétrole.
ransformer les rejets excessifs de CO2 en un pétrole de qualité. Ce système repose sur les effets conjugués de la photosynthèse, de l’énergie lumineuse et des propriétés organiques du phytoplancton, mobilisé comme puissant catalyseur, pour obtenir un carburant comparable au pétrole fossile et offrant les mêmes possibilités de produits dérivés (plastiques, polymères…).
Sur 1 hectare BFS est ainsi capable d’absorber 12 000 tonnes de CO2 par an et d’assurer une production continue et annuelle d’environ 5 500 barils de pétrole
Pour produire 1 baril de pétrole, BFS absorbe 2.168 kg